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  • : Le blog de Come Jausserand
  • : Blog de textes de chansons et textes divers
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Looser devant l'éternel, je poste sur mon blog mes horribles contributions au massacre de la langue française. Toute entité musicale en recherche de textes sans valeur peut faire appel à moi : c'est gratuit !
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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 22:25


On ne voyait que toi
Trois pouces au moins je crois
De talons hauts et droits
Je n’étais pas grand déjà
Mais comme quoi, tu vois...

Le menu comme se doit
Mais carte sans prix pour moi
Des plats longs comme le bras
A vous laisser sans voix
Mais comme quoi, tu vois…

Andrea
Tu m’ouvres l’appétit
Andrea
Au-delà des fruits
Andrea
Si je suis mon envie
Andrea
Je vais finir en confit

J’ai avalé tout ça
Fallait bon estomac
A peine rentré chez moi
J’en redemandais déjà
Et comme quoi, tu vois...

J’ai eu des hauts des bas
Haut les cœurs, bas les pattes
Des portées en surpoids
A ne plus marcher très droit
Mais comme quoi, tu vois...

Andrea
Y a peut-être un souci
Andrea
J ‘vois l ‘tableau d’ici
Andrea
Si j’ suis mon envie
Andrea
J ‘vais finir en mari

Piano sur quelque joie
La vie parfois pour moi
C’est comme un opéra
J’en ai connu des nanas
Mais comme toi, tu vois…

J’en ai connu des nanas
Mais comme toi, tu vois…

Andrea
C’est pas mon esprit
Andrea
J ‘ l ‘entends bien d’ici
Andrea
La voix d’un petit gars
Andrea
Qui m’a appelé papa

Lyon, 2 juin 2012

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 15:34


Une nouvelle, encore une, dans sa joie, dans ses bras
Je l’encourage, quelques fois : « Elle est faite pour toi »
Mais je ne cesse de rêver, et de toutes ces images
Je ne veux que garder, celles où c’est moi l’aimée

Une étincelle, une plume, je gravirai la dune
Je me retiens, mon chemin, s’est perdu dans la brume
Mais que deviendrait ma vie, si je sortais d’ici
Et si l’un de mes cris, lui disait où je suis

Il ne me verrait pas et moi je n ‘saurais pas où me cacher
Derrière des mots trop plats qui simulent l’aura d’une amitié
Je ne suis pas assez belle auprès de celui
Qui m’appelle trop bien « son amie »

Les yeux fermés, dans ma nuit, j’ai trop peur d’avancer
Sa cécité, ne pas voir, ni se savoir aimé 
J’aimerais tomber dans l’oubli
Mon amour me dit ce que c’est d’être en vie
Je ne vis que pour lui

Il ne me verrait pas et moi je n ‘saurai pas où me cacher
Derrière des mots trop plats qui simulent l’aura d’une amitié
Je ne suis pas assez belle auprès de celui
Qui m’appelle trop bien « son amie »

Lyon, 12 février 2012

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 18:39


Ca ne me déplairait pas, qu’ tu débarrasses
Na na na
Fallait saisir ta chance, avant qu’elle passe
Na na na
T’attends p ‘t’être un but pour, laisser ta place
Na na na na na na

C'est le désert que sert l'abominable homme-énerve
A l'abdominal banc des grèves
Pour un parcours de misère
C'est le désert que sert l'abominable homme-énerve
A l'abdominal banc des grèves
Pour un parcours de misère
Bafanana, Bafanana, Bafana split
Hou Bafanana, Bafanana, Bafana split

De délires en conflits, dans ton équipe
Ou la la
T’encaisses les cartons rouges, c’est pas pratique
Non non non
On peut pas la confondre, cette tactique
Non non non non non non

C'est le désert que sert l'abominable homme-énerve
A l'abdominal banc des grèves
Pour un parcours de misère
C'est le désert que sert l'abominable homme-énerve
A l'abdominal banc des grèves
Pour un parcours de misère
Bafanana, Bafanana, Bafana split
Hou Bafanana, Bafanana, Bafana split
 
Ballet givré sous ta, chevelure blanche
Bla bla bla
On dirait qu’ t’as ta dose, de décadence
Aie Aie Aie
Les Bafanas déboulent, une avalanche
Na na na na na na na

C'est le désert que sert l'abominable homme-énerve
A l'abdominal banc des grèves
Pour un parcours de misère
C'est le désert que sert l'abominable homme-énerve
A l'abdominal banc des grèves
Pour un parcours de misère
Bafanana, Bafanana, Bafana split
Hou Bafanana, Bafanana, Bafana split

Lyon, 22 juin 2010

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